Excusez ma grossiereté mais après l'émission de ce matin, l'émission de ce soir tard sur une chaîne dont je n'ai pas regardé le nom.
Il y avait Liem Hoang-Noac l'auteur de Sarkonomics et puis des invités et un con prétentieux dont j'ignore le nom et c'est parfait ainsi.
C'est le genre d'émission ou tout le monde parle en même temps ou vous n'avez pas le temps de développer uen idée et au milieu de tout cela ce brillant con prétentieux qui nous déclare " vous dites qu'il n'y a pas assez d'enseignats moi je pose la question n'y en a t'il pas de trop et lorsque comme moi on émet des idées qui dérangent on est brocardé".
Mais les idées qui dérangent ce ne sont pas les siennes puisqu'elles sont celles qui nous sont développées dans toutes les feuilles de choux, dans toutes les TV dans les shows du Medef, dans la bouche des ministres que l'on entend plusieurs fois par semaine dire les mêmes choses, sans débats contradictoires, sans contrôle. Mais monsieur vous n'êtes pas à contre courant vous êtes le propagandiste de Sarkozy.
Puisqu'il faut changer beaucoup de choses, changeons l'information ou plutôt transformons la propagande en information.
Il y avait Liem Hoang-Noac l'auteur de Sarkonomics et puis des invités et un con prétentieux dont j'ignore le nom et c'est parfait ainsi.
C'est le genre d'émission ou tout le monde parle en même temps ou vous n'avez pas le temps de développer uen idée et au milieu de tout cela ce brillant con prétentieux qui nous déclare " vous dites qu'il n'y a pas assez d'enseignats moi je pose la question n'y en a t'il pas de trop et lorsque comme moi on émet des idées qui dérangent on est brocardé".
Mais les idées qui dérangent ce ne sont pas les siennes puisqu'elles sont celles qui nous sont développées dans toutes les feuilles de choux, dans toutes les TV dans les shows du Medef, dans la bouche des ministres que l'on entend plusieurs fois par semaine dire les mêmes choses, sans débats contradictoires, sans contrôle. Mais monsieur vous n'êtes pas à contre courant vous êtes le propagandiste de Sarkozy.
Puisqu'il faut changer beaucoup de choses, changeons l'information ou plutôt transformons la propagande en information.